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L’Observatoire du Droit à la  Santé des Etrangers (ODSE) est un collectif d’associations qui entendent dénoncer les difficultés rencontrées par les étrangers dans les domaines de l’accès aux soins et du droit au séjour pour raison médicale. Aujourd'hui, l'offensive de l'ODSE sur la question des étrangers malades se poursuit....
Il y a vingt-quatre ans, le 20 décembre 1988, était ratifiée à Vienne la Convention des Nations Unies contre le trafic illicite des stupéfiants et des substances psychotropes, rendant notamment "contraignante l’adoption de mesures pénales à la détention et à l’achat de stupéfiants et de substances psychotropes et...
Les résultats de l'étude iPrEx, publiés dans le New England Journal of Medicine du 23 novembre 2011, ont confirmé que l'utilisation d'antirétroviraux chez des gays non-infectés réduit le risque d'infection de 44%. Ces données encourageantes, auxquelles se sont depuis greffées nombre d'autres portant sur différents groupes cibles, expliquent en...
L'ANRS et Coalition PLUS publient conjointement le premier guide méthodologique en recherche communautaire.

L'ANRS et Coalition PLUS publient conjointement le premier guide méthodologique en recherche communautaire

Le TRT-5 a validé la candidature d’Emilie Henry, chargée de programme recherche de la Coalition PLUS pour représenter les personnes vivant avec le VIH/sida et/ou vulnérables à l’épidémie et la société civile au comité scientifique « pays en développement » de l’ANRS (agence nationale de recherche sur le VIH/sida et les hépatites en France).

Le TRT-5 a validé la candidature d’Emilie Henry, chargée de programme recherche de la Coalition PLUS pour représenter les personnes vivant avec le VIH/sida et/ou vulnérables à l’épidémie et la société civile au comité scientifique « pays en développement » de l’ANRS (agence nationale de recherche sur le VIH/sida et les hépatites en France).

Programme de réduction des risques
auprès des personnes usagères de drogues à l’ALCS Tétouan
Le Nord du Maroc a connu ces dernières années une augmentation rapide de l’usage de drogues, tout particulièrement l’héroïne par voie injectable, avec comme corollaire une épidémie d’infection à VIH et au virus de l’hépatite C. C’est pourquoi, l’ALCS, principale association de lutte contre le sida au Maroc, reconnue d’utilité publique, membre fondateur de la Coalition Plus, impliquée à la fois dans la prise en charge psychosociale des personnes vivant avec le VIH et dans des projets de prévention de proximité auprès des populations les plus vulnérables à l’infection à VIH (MSM, professionnelles du sexe, migrants) s’est investit dans la réduction des risques et dans le plaidoyer pour la défense des droits des personnes usagères de drogues (PUD).
En 2009, en l’absence de financement institutionnel et devant l’urgence, l’ALCS a démarré, initialement avec l’apport financier de Coalition PLUS, puis avec un financement d’une agence catalane et du Fonds Mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, un programme d’échange de seringues dans la ville de Tétouan. Grâce à une unité mobile, les intervenants de terrain distribuent des kits d’injection et autres matériel de prévention du VIH et VHB/VHC, du papier aluminium et des condoms. De 2009 à 2011, 35 000 seringues ont été distribuées avec un taux de retour de 51%. Des campagnes de dépistage mobile du VIH et des IST, sont régulièrement organisées.
En matière de plaidoyer, une enquête réalisée en 2011, auprès de 300 PUD, a permis de documenter les violations de leurs droits par la police, la justice et le système de santé et de mener une campagne de communication sur ces violations qui a aboutie à la signature, par les principales associations de RdR et de droits humains, d’une déclaration demandant un changement de politique.
Par manque de moyens financiers, ce programme souffre de l’absence de centres d’accueil des PUD et de programme de substitution par la méthadone qui devrait bientôt démarrer.
Programme de réduction des risques auprès des personnes usagères de drogues à l’ALCS Tétouan
Le Nord du Maroc a connu ces dernières années une augmentation rapide de l’usage de drogues, tout particulièrement l’héroïne par voie injectable, avec comme corollaire une épidémie d’infection à VIH et au virus de l’hépatite C.
Programme de réduction des risques
auprès des personnes usagères de drogues à l’ALCS Tétouan
Le Nord du Maroc a connu ces dernières années une augmentation rapide de l’usage de drogues, tout particulièrement l’héroïne par voie injectable, avec comme corollaire une épidémie d’infection à VIH et au virus de l’hépatite C. C’est pourquoi, l’ALCS, principale association de lutte contre le sida au Maroc, reconnue d’utilité publique, membre fondateur de la Coalition Plus, impliquée à la fois dans la prise en charge psychosociale des personnes vivant avec le VIH et dans des projets de prévention de proximité auprès des populations les plus vulnérables à l’infection à VIH (MSM, professionnelles du sexe, migrants) s’est investit dans la réduction des risques et dans le plaidoyer pour la défense des droits des personnes usagères de drogues (PUD).
En 2009, en l’absence de financement institutionnel et devant l’urgence, l’ALCS a démarré, initialement avec l’apport financier de Coalition PLUS, puis avec un financement d’une agence catalane et du Fonds Mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, un programme d’échange de seringues dans la ville de Tétouan. Grâce à une unité mobile, les intervenants de terrain distribuent des kits d’injection et autres matériel de prévention du VIH et VHB/VHC, du papier aluminium et des condoms. De 2009 à 2011, 35 000 seringues ont été distribuées avec un taux de retour de 51%. Des campagnes de dépistage mobile du VIH et des IST, sont régulièrement organisées.
En matière de plaidoyer, une enquête réalisée en 2011, auprès de 300 PUD, a permis de documenter les violations de leurs droits par la police, la justice et le système de santé et de mener une campagne de communication sur ces violations qui a aboutie à la signature, par les principales associations de RdR et de droits humains, d’une déclaration demandant un changement de politique.
Par manque de moyens financiers, ce programme souffre de l’absence de centres d’accueil des PUD et de programme de substitution par la méthadone qui devrait bientôt démarrer.
Programme de réduction des risques auprès des personnes usagères de drogues à l’ALCS Tétouan
Le Nord du Maroc a connu ces dernières années une augmentation rapide de l’usage de drogues, tout particulièrement l’héroïne par voie injectable, avec comme corollaire une épidémie d’infection à VIH et au virus de l’hépatite C.