Accueil Témoignages

Témoignages



Hier, mardi 14 juin, l’Assemblée Nationale a adopté à la quasi-unanimité la résolution sur la mise en place d’une Taxe sur les Transactions Financières (TTF) présentée et déposée conjointement par le PS et le SPD Allemand.


Hier, mardi 14 juin, l’Assemblée Nationale a adopté à la quasi-unanimité la résolution sur la mise en place d’une Taxe sur les Transactions Financières (TTF) présentée et déposée conjointement par le PS et le SPD Allemand.



New York, 9 juin 2011

Sarkozy doit convoquer un sommet spécial, et taxer les transactions financières



New York, 9 juin 2011

Sarkozy doit convoquer un sommet spécial, et taxer les transactions financières

Aujourd'hui, le G8 a appelé les laboratoires pharmaceutiques à octroyer au Patent Pool d'UNITAID des licences sur leurs médicaments anti-sida. Le Patent Pool est une initiative lancée en 2010 pour permettre la fabrication et la diffusion, sous forme générique, de versions bon marché des médicaments anti-VIH récents, brevetés par...
La Coalition PLUS participe ces jours-ci au Conseil d'Administration du Fonds mondial de lutte contre le sida, qui apporte la trithérapie à plus de 4 millions de malades.
Hier, plus de 600 activistes bulgares ont manifeste devant le CA, et remis un mémorandum au président du Fonds mondial. Ils refusent que le Fonds laisse à l’abandon les pays récemment entrés dans l'Union Européenne. L’association ARAS en Roumanie, adhérente de la Coalition PLUS est ainsi confrontée au même dilemme que les associations bulgares. PLUS est sorti du CA pour aller manifester avec eux !
Aujourd'hui commencent les négociations entre pays riches et pays pauvres, pour savoir si le rythme de financement allait être soutenu ou freiné en passant de tous les 12 mois à tous les 18 mois. PLUS prône une accélération des rounds, afin que des pays comme la République Démocratique du Congo puissent présenter de nouveaux projets et donc de nouvelles demandes de financement. Les Etats-Unis se prononcent en faveur d’un ralentissement majeur des financements. La France soutient le statut quo (tous les 12 mois, comme aujourd'hui). Les négociations s'annoncent difficiles.
Une lueur d'espoir cependant sur la sortie de la crise budgétaire dans laquelle la lutte mondiale contre le sida se trouve plongée : la taxation des transactions financières. Le président du G20 (le groupe des 20 pays les plus riches du monde) a annoncé en novembre qu'il souhaitait qu'une telle taxe soit introduite au profit des pays pauvres, et qu'il allait la proposer rapidement aux autres pays du groupe. Raison de plus pour continuer le combat !
La Coalition PLUS participe ces jours-ci au Conseil d'Administration du Fonds mondial de lutte contre le sida, qui apporte la trithérapie à plus de 4 millions de malades.



Hier, plus de 600 activistes bulgares ont manifeste devant le CA, et remis un mémorandum au président du Fonds mondial. Ils refusent que le Fonds laisse à l’abandon les pays récemment entrés dans l'Union Européenne.
La Coalition PLUS participe ces jours-ci au Conseil d'Administration du Fonds mondial de lutte contre le sida, qui apporte la trithérapie à plus de 4 millions de malades.
Hier, plus de 600 activistes bulgares ont manifeste devant le CA, et remis un mémorandum au président du Fonds mondial. Ils refusent que le Fonds laisse à l’abandon les pays récemment entrés dans l'Union Européenne. L’association ARAS en Roumanie, adhérente de la Coalition PLUS est ainsi confrontée au même dilemme que les associations bulgares. PLUS est sorti du CA pour aller manifester avec eux !
Aujourd'hui commencent les négociations entre pays riches et pays pauvres, pour savoir si le rythme de financement allait être soutenu ou freiné en passant de tous les 12 mois à tous les 18 mois. PLUS prône une accélération des rounds, afin que des pays comme la République Démocratique du Congo puissent présenter de nouveaux projets et donc de nouvelles demandes de financement. Les Etats-Unis se prononcent en faveur d’un ralentissement majeur des financements. La France soutient le statut quo (tous les 12 mois, comme aujourd'hui). Les négociations s'annoncent difficiles.
Une lueur d'espoir cependant sur la sortie de la crise budgétaire dans laquelle la lutte mondiale contre le sida se trouve plongée : la taxation des transactions financières. Le président du G20 (le groupe des 20 pays les plus riches du monde) a annoncé en novembre qu'il souhaitait qu'une telle taxe soit introduite au profit des pays pauvres, et qu'il allait la proposer rapidement aux autres pays du groupe. Raison de plus pour continuer le combat !
La Coalition PLUS participe ces jours-ci au Conseil d'Administration du Fonds mondial de lutte contre le sida, qui apporte la trithérapie à plus de 4 millions de malades.



Hier, plus de 600 activistes bulgares ont manifeste devant le CA, et remis un mémorandum au président du Fonds mondial. Ils refusent que le Fonds laisse à l’abandon les pays récemment entrés dans l'Union Européenne.
Une simple signature à Bruxelles peut-elle provoquer une catastrophe humanitaire ? Nous pourrions bientôt en avoir la preuve, et le nombre de victimes serait alors très élevé. Le cycle de négociations des accords de libre-échange qui s'est ouvert la semaine passée entre l'Union européenne et l'Inde risque en effet de mettre un terme à la production massive de médicaments en Inde. Et ainsi mettre en danger le fonctionnement de ce qui s'est imposé ces dernières années comme la pharmacie du monde.


Créée en 1988, l’Association de Lutte Contre le Sida (ALCS) est aujourd’hui un acteur incontournable de la société civile au Maroc.
Voici un reportage vidéo et photo proposé par le photographe journaliste Daniel Hérard, qui revient sur la lutte d’une association qui a choisi d’aller encore plus près de ses publics cibles, les groupes les plus vulnérables, en se mettant à l’écoute de leur réalité, de leurs différences et de leurs besoins.



A la veille de la conférence de reconstitution du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose, et la paludisme qui se tiendra demain, mardi 5 octobre 2010 à New York, les associations de République Démocratique du Congo, ont parcouru ensemble les rues de Kinshasa pour remettre aux ambassades de France et des Etats-Unis, une lettre demandant aux ambassadeurs de transmettre leurs revendications à leur président respectif.


Dans la continuité de ses déclarations onusiennes et à la veille de la présidence française du G20, Monsieur Sarkozy doit faire preuve de volonté politique.
Pourquoi ne pas montrer l’exemple en taxant les transactions boursières en France ?

Hier 20 septembre, Nicolas Sarkozy a annoncé une hausse de 20% de la contribution française au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. 20% de plus, c’est 60 millions d’euros par an. Une obole dérisoire face aux besoins croissants du Fonds mondial, qui doit assurer la prise en charge d’un nombre toujours plus grand de malades. Pour continuer à gagner du terrain contre le virus, il fallait non pas augmenter de 20%, mais doubler les financements .
Contre le sida, le compte n'y est pas !

Les militants de Coalition PLUS se sont joints aux militants de AIDES, Sidaction, Act Up-Paris et Solidarité Sida pour manifester ce matin, lundi 20 septembre devant l’Assemblée Nationale. Deux cents militants anti-sida déterminés à rappeler aux pays riches leurs engagements en matière de santé puisqu’il y a cinq ans, lors du sommet de Gleaneagles, la France et les autres pays du G8 se sont engagés pour que toutes les personnes porteuses du VIH/sida aient accès à un traitement en 2010.
A l'attention de la communauté internationale et des leaders mondiaux Le Fonds mondial de lute contre le sida, la tuberculose et le paludisme fut créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement. À peine 10 ans après sa création, le Fonds mondial a sauvé plus de 4,9 millions de vies et permet chaque jour d'éviter 3600 décès. Les programmes mis en place ont permis de fournir un traitement pour le VIH/sida à 2,5 millions de personnes, des médicaments pour la tuberculose à 6 millions de personnes, et 104 millions de moustiquaires contre le paludisme. Ainsi, le Fonds mondial a contribué de façon significative à la réalisation des objectifs 4, 5 et 6 du millénaire pour le développement (OMD) (http://www.un.org/fr/millenniumgoals/), notamment en soutenant des initiatives de traitement des femmes vivant avec le VIH/sida, de prévention de la transmission mère-enfant, et de réduction du nombre de décès liés au paludisme chez les enfants de moins de 5 ans. La période actuelle est cruciale pour le Fonds mondial et pour la communauté internationale car si on lui fournit les ressources nécessaires, le Fonds peut éliminer le paludisme dans les zones endémiques, éviter des millions de nouvelles infections au VIH/sida, faire presque disparaitre la transmission  mère-enfant, et diminuer de façon significative la prévalence et le nombre de décès liés à la tuberculose d'ici 2015. La troisième rencontre pour la reconstitution des ressources du Fonds mondial aura lieu à New York les 4 et 5 octobre 2010. Les gouvernements et bailleurs de fonds se retrouveront à cette occasion  non seulement pour annoncer leur engagement financier envers le Fonds mondial, mais aussi pour exprimer leur soutient aux millions de personnes infectées et affectées par le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme à travers le monde. La reconstitution devra mobiliser au minimum 20 milliards de dollars pour maintenir et améliorer les résultats obtenus au cours des dernières années. Dans un contexte de restrictions financières, cette somme peut être perçue comme colossale. Cependant, en comparaison aux 700 milliards de dollars déboursés en un temps records pour venir en aides aux banques de Wall Street pendant la crise financière, c'est un investissement raisonnable dont les retombées seront importantes en termes d'amélioration de la santé. Certains bailleurs de fonds internationaux ont anticipé l'issue de la réunion de reconstitution du Fonds, et ont déjà proposé un plafonnement du montant du financement disponible pour chaque session. Les conséquences seraient terribles car cette décision va à l'encontre des principes même sur lesquels a été créé le Fonds mondial. Certains pays et certaines communautés seraient privées des ressources nécessaires pour répondre de manière efficace au VIH/sida, à la tuberculose et au paludisme. Signer cette pétition, c'est manifester son soutien au Fonds mondial et exiger un engagement de la part des gouvernements pour la santé des communautés à travers le monde, en augmentant leur contribution financière au Fonds mondial et en mobilisant les 20 milliards de dollars à la troisième rencontre pour la reconstitution des ressources
A l'attention de la communauté internationale et des leaders mondiaux 


Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a été créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement. A l'attention de la communauté internationale et des leaders mondiaux Le Fonds mondial de lute contre le sida, la tuberculose et le paludisme fut créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement. À peine 10 ans après sa création, le Fonds mondial a sauvé plus de 4,9 millions de vies et permet chaque jour d'éviter 3600 décès. Les programmes mis en place ont permis de fournir un traitement pour le VIH/sida à 2,5 millions de personnes, des médicaments pour la tuberculose à 6 millions de personnes, et 104 millions de moustiquaires contre le paludisme. Ainsi, le Fonds mondial a contribué de façon significative à la réalisation des objectifs 4, 5 et 6 du millénaire pour le développement (OMD) (http://www.un.org/fr/millenniumgoals/), notamment en soutenant des initiatives de traitement des femmes vivant avec le VIH/sida, de prévention de la transmission mère-enfant, et de réduction du nombre de décès liés au paludisme chez les enfants de moins de 5 ans. La période actuelle est cruciale pour le Fonds mondial et pour la communauté internationale car si on lui fournit les ressources nécessaires, le Fonds peut éliminer le paludisme dans les zones endémiques, éviter des millions de nouvelles infections au VIH/sida, faire presque disparaitre la transmission  mère-enfant, et diminuer de façon significative la prévalence et le nombre de décès liés à la tuberculose d'ici 2015. La troisième rencontre pour la reconstitution des ressources du Fonds mondial aura lieu à New York les 4 et 5 octobre 2010. Les gouvernements et bailleurs de fonds se retrouveront à cette occasion  non seulement pour annoncer leur engagement financier envers le Fonds mondial, mais aussi pour exprimer leur soutient aux millions de personnes infectées et affectées par le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme à travers le monde. La reconstitution devra mobiliser au minimum 20 milliards de dollars pour maintenir et améliorer les résultats obtenus au cours des dernières années. Dans un contexte de restrictions financières, cette somme peut être perçue comme colossale. Cependant, en comparaison aux 700 milliards de dollars déboursés en un temps records pour venir en aides aux banques de Wall Street pendant la crise financière, c'est un investissement raisonnable dont les retombées seront importantes en termes d'amélioration de la santé. Certains bailleurs de fonds internationaux ont anticipé l'issue de la réunion de reconstitution du Fonds, et ont déjà proposé un plafonnement du montant du financement disponible pour chaque session. Les conséquences seraient terribles car cette décision va à l'encontre des principes même sur lesquels a été créé le Fonds mondial. Certains pays et certaines communautés seraient privées des ressources nécessaires pour répondre de manière efficace au VIH/sida, à la tuberculose et au paludisme. Signer cette pétition, c'est manifester son soutien au Fonds mondial et exiger un engagement de la part des gouvernements pour la santé des communautés à travers le monde, en augmentant leur contribution financière au Fonds mondial et en mobilisant les 20 milliards de dollars à la troisième rencontre pour la reconstitution des ressources
A l'attention de la communauté internationale et des leaders mondiaux 


Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a été créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement.