En direct du Conseil d’Administration du Fonds mondial à Sofia, Bulgarie

L’association ARAS en Roumanie, adhérente de la Coalition PLUS est ainsi confrontée au même dilemme que les associations bulgares. PLUS est sorti du CA pour aller manifester avec eux !

Aujourd’hui commencent les négociations entre pays riches et pays pauvres, pour savoir si le rythme de financement allait être soutenu ou freiné en passant de tous les 12 mois à tous les 18 mois. PLUS prône une accélération des rounds, afin que des pays comme la République Démocratique du Congo puissent présenter de nouveaux projets et donc de nouvelles demandes de financement. Les Etats-Unis se prononcent en faveur d’un ralentissement majeur des financements. La France soutient le statut quo (tous les 12 mois, comme aujourd’hui). Les négociations s’annoncent difficiles.

Une lueur d’espoir cependant sur la sortie de la crise budgétaire dans laquelle la lutte mondiale contre le sida se trouve plongée : la taxation des transactions financières. Le président du G20 (le groupe des 20 pays les plus riches du monde) a annoncé en novembre qu’il souhaitait qu’une telle taxe soit introduite au profit des pays pauvres, et qu’il allait la proposer rapidement aux autres pays du groupe. Raison de plus pour continuer le combat !

L’association ARAS en Roumanie, adhérente de la Coalition PLUS est ainsi confrontée au même dilemme que les associations bulgares. PLUS est sorti du CA pour aller manifester avec eux !

Aujourd’hui commencent les négociations entre pays riches et pays pauvres, pour savoir si le rythme de financement allait être soutenu ou freiné en passant de tous les 12 mois à tous les 18 mois. PLUS prône une accélération des rounds, afin que des pays comme la République Démocratique du Congo puissent présenter de nouveaux projets et donc de nouvelles demandes de financement. Les Etats-Unis se prononcent en faveur d’un ralentissement majeur des financements. La France soutient le statut quo (tous les 12 mois, comme aujourd’hui). Les négociations s’annoncent difficiles.

Une lueur d’espoir cependant sur la sortie de la crise budgétaire dans laquelle la lutte mondiale contre le sida se trouve plongée : la taxation des transactions financières. Le président du G20 (le groupe des 20 pays les plus riches du monde) a annoncé en novembre qu’il souhaitait qu’une telle taxe soit introduite au profit des pays pauvres, et qu’il allait la proposer rapidement aux autres pays du groupe. Raison de plus pour continuer le combat !

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