La lutte contre le sida a besoin de vous !

À peine 10 ans après sa création, le Fonds mondial a sauvé plus de 4,9 millions de vies et permet chaque jour d’éviter 3600 décès. Les programmes mis en place ont permis de fournir un traitement pour le VIH/sida à 2,5 millions de personnes, des médicaments pour la tuberculose à 6 millions de personnes, et 104 millions de moustiquaires contre le paludisme.

Ainsi, le Fonds mondial a contribué de façon significative à la réalisation des objectifs 4, 5 et 6 du millénaire pour le développement (OMD), notamment en soutenant des initiatives de traitement des femmes vivant avec le VIH/sida, de prévention de la transmission mère-enfant, et de réduction du nombre de décès liés au paludisme chez les enfants de moins de 5 ans.

La période actuelle est cruciale pour le Fonds mondial et pour la communauté internationale car si on lui fournit les ressources nécessaires, le Fonds peut éliminer le paludisme dans les zones endémiques, éviter des millions de nouvelles infections au VIH/sida, faire presque disparaitre la transmission  mère-enfant, et diminuer de façon significative la prévalence et le nombre de décès liés à la tuberculose d’ici 2015.

La troisième rencontre pour la reconstitution des ressources du Fonds mondial aura lieu à New York les 4 et 5 octobre 2010. Les gouvernements et bailleurs de fonds se retrouveront à cette occasion  non seulement pour annoncer leur engagement financier envers le Fonds mondial, mais aussi pour exprimer leur soutien aux millions de personnes infectées et affectées par le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme à travers le monde.

La reconstitution devra mobiliser au minimum 20 milliards de dollars pour maintenir et améliorer les résultats obtenus au cours des dernières années. Dans un contexte de restrictions financières, cette somme peut être perçue comme colossale. Cependant, en comparaison aux 700 milliards de dollars déboursés en un temps record pour venir en aide aux banques de Wall Street pendant la crise financière, c’est un investissement raisonnable dont les retombées seront phénoménales en termes d’amélioration de la santé.

Certains bailleurs de fonds internationaux ont anticipé l’issue de la rencontre, et ont déjà proposé un plafonnement du montant du financement disponible pour chaque session. Les conséquences seraient terribles car cette décision va à l’encontre du principe même sur lequel a été créé le Fonds mondial. Certains pays et certaines communautés seraient privés des ressources nécessaires pour répondre de manière efficace au VIH/sida, à la tuberculose et au paludisme.

Signer cette pétition, c’est manifester son soutien au Fonds mondial et exiger un engagement de la part des gouvernements pour la santé des communautés à travers le monde, en augmentant leur contribution financière au Fonds mondial et en mobilisant les 20 milliards de dollars lors de la troisième rencontre pour la reconstitution des ressources.

À peine 10 ans après sa création, le Fonds mondial a sauvé plus de 4,9 millions de vies et permet chaque jour d’éviter 3600 décès. Les programmes mis en place ont permis de fournir un traitement pour le VIH/sida à 2,5 millions de personnes, des médicaments pour la tuberculose à 6 millions de personnes, et 104 millions de moustiquaires contre le paludisme.

Ainsi, le Fonds mondial a contribué de façon significative à la réalisation des objectifs 4, 5 et 6 du millénaire pour le développement (OMD), notamment en soutenant des initiatives de traitement des femmes vivant avec le VIH/sida, de prévention de la transmission mère-enfant, et de réduction du nombre de décès liés au paludisme chez les enfants de moins de 5 ans.

La période actuelle est cruciale pour le Fonds mondial et pour la communauté internationale car si on lui fournit les ressources nécessaires, le Fonds peut éliminer le paludisme dans les zones endémiques, éviter des millions de nouvelles infections au VIH/sida, faire presque disparaitre la transmission  mère-enfant, et diminuer de façon significative la prévalence et le nombre de décès liés à la tuberculose d’ici 2015.

La troisième rencontre pour la reconstitution des ressources du Fonds mondial aura lieu à New York les 4 et 5 octobre 2010. Les gouvernements et bailleurs de fonds se retrouveront à cette occasion  non seulement pour annoncer leur engagement financier envers le Fonds mondial, mais aussi pour exprimer leur soutien aux millions de personnes infectées et affectées par le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme à travers le monde.

La reconstitution devra mobiliser au minimum 20 milliards de dollars pour maintenir et améliorer les résultats obtenus au cours des dernières années. Dans un contexte de restrictions financières, cette somme peut être perçue comme colossale. Cependant, en comparaison aux 700 milliards de dollars déboursés en un temps record pour venir en aide aux banques de Wall Street pendant la crise financière, c’est un investissement raisonnable dont les retombées seront phénoménales en termes d’amélioration de la santé.

Certains bailleurs de fonds internationaux ont anticipé l’issue de la rencontre, et ont déjà proposé un plafonnement du montant du financement disponible pour chaque session. Les conséquences seraient terribles car cette décision va à l’encontre du principe même sur lequel a été créé le Fonds mondial. Certains pays et certaines communautés seraient privés des ressources nécessaires pour répondre de manière efficace au VIH/sida, à la tuberculose et au paludisme.

Signer cette pétition, c’est manifester son soutien au Fonds mondial et exiger un engagement de la part des gouvernements pour la santé des communautés à travers le monde, en augmentant leur contribution financière au Fonds mondial et en mobilisant les 20 milliards de dollars lors de la troisième rencontre pour la reconstitution des ressources.

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