La pharmacie du monde en danger
Une simple signature à Bruxelles peut-elle provoquer une catastrophe humanitaire ? Nous pourrions bientôt en avoir la preuve, et le nombre de victimes serait alors très élevé. Le cycle de négociations des accords de libre-échange qui s'est ouvert la semaine passée entre l'Union européenne et l'Inde risque en effet de mettre un terme à la production massive de médicaments en Inde. Et ainsi mettre en danger le fonctionnement de ce qui s'est imposé ces dernières années comme la pharmacie du monde.
Reportage ALCS
Créée en 1988, l’Association de Lutte Contre le Sida (ALCS) est aujourd’hui un acteur incontournable de la société civile au Maroc.
Voici un reportage vidéo et photo proposé par le photographe journaliste Daniel Hérard, qui revient sur la lutte d’une association qui a choisi d’aller encore plus près de ses publics cibles, les groupes les plus vulnérables, en se mettant à l’écoute de leur réalité, de leurs différences et de leurs besoins.
A Kinshasa, les associations marchent d’un même pas avec ACS / AMO Congo pour faire entendre leurs revendications
A la veille de la conférence de reconstitution du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose, et la paludisme qui se tiendra demain, mardi 5 octobre 2010 à New York, les associations de République Démocratique du Congo, ont parcouru ensemble les rues de Kinshasa pour remettre aux ambassades de France et des Etats-Unis, une lettre demandant aux ambassadeurs de transmettre leurs revendications à leur président respectif.
« Taxe Robin » sur les transactions financières : Les déclarations, c’est bien. L’action, c’est mieux !
Dans la continuité de ses déclarations onusiennes et à la veille de la présidence française du G20, Monsieur Sarkozy doit faire preuve de volonté politique.
Pourquoi ne pas montrer l’exemple en taxant les transactions boursières en France ?
Hier 20 septembre, Nicolas Sarkozy a annoncé une hausse de 20% de la contribution française au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme. 20% de plus, c’est 60 millions d’euros par an. Une obole dérisoire face aux besoins croissants du Fonds mondial, qui doit assurer la prise en charge d’un nombre toujours plus grand de malades. Pour continuer à gagner du terrain contre le virus, il fallait non pas augmenter de 20%, mais doubler les financements .
Contre le sida, le compte n’y est pas !
Contre le sida, le compte n'y est pas !
Les militants de Coalition PLUS se sont joints aux militants de AIDES, Sidaction, Act Up-Paris et Solidarité Sida pour manifester ce matin, lundi 20 septembre devant l’Assemblée Nationale. Deux cents militants anti-sida déterminés à rappeler aux pays riches leurs engagements en matière de santé puisqu’il y a cinq ans, lors du sommet de Gleaneagles, la France et les autres pays du G8 se sont engagés pour que toutes les personnes porteuses du VIH/sida aient accès à un traitement en 2010.
Les militants de Coalition PLUS se sont joints aux militants de AIDES, Sidaction, Act Up-Paris et Solidarité Sida pour manifester ce matin, lundi 20 septembre devant l’Assemblée Nationale. Deux cents militants anti-sida déterminés à rappeler aux pays riches leurs engagements en matière de santé puisqu’il y a cinq ans, lors du sommet de Gleaneagles, la France et les autres pays du G8 se sont engagés pour que toutes les personnes porteuses du VIH/sida aient accès à un traitement en 2010.
La lutte contre le sida a besoin de vous !
A l'attention de la communauté internationale et des leaders mondiaux
Le Fonds mondial de lute contre le sida, la tuberculose et le paludisme fut créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement.
À peine 10 ans après sa création, le Fonds mondial a sauvé plus de 4,9 millions de vies et permet chaque jour d'éviter 3600 décès. Les programmes mis en place ont permis de fournir un traitement pour le VIH/sida à 2,5 millions de personnes, des médicaments pour la tuberculose à 6 millions de personnes, et 104 millions de moustiquaires contre le paludisme.
Ainsi, le Fonds mondial a contribué de façon significative à la réalisation des objectifs 4, 5 et 6 du millénaire pour le développement (OMD) (http://www.un.org/fr/millenniumgoals/), notamment en soutenant des initiatives de traitement des femmes vivant avec le VIH/sida, de prévention de la transmission mère-enfant, et de réduction du nombre de décès liés au paludisme chez les enfants de moins de 5 ans.
La période actuelle est cruciale pour le Fonds mondial et pour la communauté internationale car si on lui fournit les ressources nécessaires, le Fonds peut éliminer le paludisme dans les zones endémiques, éviter des millions de nouvelles infections au VIH/sida, faire presque disparaitre la transmission mère-enfant, et diminuer de façon significative la prévalence et le nombre de décès liés à la tuberculose d'ici 2015.
La troisième rencontre pour la reconstitution des ressources du Fonds mondial aura lieu à New York les 4 et 5 octobre 2010. Les gouvernements et bailleurs de fonds se retrouveront à cette occasion non seulement pour annoncer leur engagement financier envers le Fonds mondial, mais aussi pour exprimer leur soutient aux millions de personnes infectées et affectées par le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme à travers le monde.
La reconstitution devra mobiliser au minimum 20 milliards de dollars pour maintenir et améliorer les résultats obtenus au cours des dernières années. Dans un contexte de restrictions financières, cette somme peut être perçue comme colossale. Cependant, en comparaison aux 700 milliards de dollars déboursés en un temps records pour venir en aides aux banques de Wall Street pendant la crise financière, c'est un investissement raisonnable dont les retombées seront importantes en termes d'amélioration de la santé.
Certains bailleurs de fonds internationaux ont anticipé l'issue de la réunion de reconstitution du Fonds, et ont déjà proposé un plafonnement du montant du financement disponible pour chaque session. Les conséquences seraient terribles car cette décision va à l'encontre des principes même sur lesquels a été créé le Fonds mondial. Certains pays et certaines communautés seraient privées des ressources nécessaires pour répondre de manière efficace au VIH/sida, à la tuberculose et au paludisme.
Signer cette pétition, c'est manifester son soutien au Fonds mondial et exiger un engagement de la part des gouvernements pour la santé des communautés à travers le monde, en augmentant leur contribution financière au Fonds mondial et en mobilisant les 20 milliards de dollars à la troisième rencontre pour la reconstitution des ressources
A l'attention de la communauté internationale et des leaders mondiaux

Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a été créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement. A l'attention de la communauté internationale et des leaders mondiaux Le Fonds mondial de lute contre le sida, la tuberculose et le paludisme fut créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement. À peine 10 ans après sa création, le Fonds mondial a sauvé plus de 4,9 millions de vies et permet chaque jour d'éviter 3600 décès. Les programmes mis en place ont permis de fournir un traitement pour le VIH/sida à 2,5 millions de personnes, des médicaments pour la tuberculose à 6 millions de personnes, et 104 millions de moustiquaires contre le paludisme. Ainsi, le Fonds mondial a contribué de façon significative à la réalisation des objectifs 4, 5 et 6 du millénaire pour le développement (OMD) (http://www.un.org/fr/millenniumgoals/), notamment en soutenant des initiatives de traitement des femmes vivant avec le VIH/sida, de prévention de la transmission mère-enfant, et de réduction du nombre de décès liés au paludisme chez les enfants de moins de 5 ans. La période actuelle est cruciale pour le Fonds mondial et pour la communauté internationale car si on lui fournit les ressources nécessaires, le Fonds peut éliminer le paludisme dans les zones endémiques, éviter des millions de nouvelles infections au VIH/sida, faire presque disparaitre la transmission mère-enfant, et diminuer de façon significative la prévalence et le nombre de décès liés à la tuberculose d'ici 2015. La troisième rencontre pour la reconstitution des ressources du Fonds mondial aura lieu à New York les 4 et 5 octobre 2010. Les gouvernements et bailleurs de fonds se retrouveront à cette occasion non seulement pour annoncer leur engagement financier envers le Fonds mondial, mais aussi pour exprimer leur soutient aux millions de personnes infectées et affectées par le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme à travers le monde. La reconstitution devra mobiliser au minimum 20 milliards de dollars pour maintenir et améliorer les résultats obtenus au cours des dernières années. Dans un contexte de restrictions financières, cette somme peut être perçue comme colossale. Cependant, en comparaison aux 700 milliards de dollars déboursés en un temps records pour venir en aides aux banques de Wall Street pendant la crise financière, c'est un investissement raisonnable dont les retombées seront importantes en termes d'amélioration de la santé. Certains bailleurs de fonds internationaux ont anticipé l'issue de la réunion de reconstitution du Fonds, et ont déjà proposé un plafonnement du montant du financement disponible pour chaque session. Les conséquences seraient terribles car cette décision va à l'encontre des principes même sur lesquels a été créé le Fonds mondial. Certains pays et certaines communautés seraient privées des ressources nécessaires pour répondre de manière efficace au VIH/sida, à la tuberculose et au paludisme. Signer cette pétition, c'est manifester son soutien au Fonds mondial et exiger un engagement de la part des gouvernements pour la santé des communautés à travers le monde, en augmentant leur contribution financière au Fonds mondial et en mobilisant les 20 milliards de dollars à la troisième rencontre pour la reconstitution des ressources

Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a été créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement. A l'attention de la communauté internationale et des leaders mondiaux Le Fonds mondial de lute contre le sida, la tuberculose et le paludisme fut créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement. À peine 10 ans après sa création, le Fonds mondial a sauvé plus de 4,9 millions de vies et permet chaque jour d'éviter 3600 décès. Les programmes mis en place ont permis de fournir un traitement pour le VIH/sida à 2,5 millions de personnes, des médicaments pour la tuberculose à 6 millions de personnes, et 104 millions de moustiquaires contre le paludisme. Ainsi, le Fonds mondial a contribué de façon significative à la réalisation des objectifs 4, 5 et 6 du millénaire pour le développement (OMD) (http://www.un.org/fr/millenniumgoals/), notamment en soutenant des initiatives de traitement des femmes vivant avec le VIH/sida, de prévention de la transmission mère-enfant, et de réduction du nombre de décès liés au paludisme chez les enfants de moins de 5 ans. La période actuelle est cruciale pour le Fonds mondial et pour la communauté internationale car si on lui fournit les ressources nécessaires, le Fonds peut éliminer le paludisme dans les zones endémiques, éviter des millions de nouvelles infections au VIH/sida, faire presque disparaitre la transmission mère-enfant, et diminuer de façon significative la prévalence et le nombre de décès liés à la tuberculose d'ici 2015. La troisième rencontre pour la reconstitution des ressources du Fonds mondial aura lieu à New York les 4 et 5 octobre 2010. Les gouvernements et bailleurs de fonds se retrouveront à cette occasion non seulement pour annoncer leur engagement financier envers le Fonds mondial, mais aussi pour exprimer leur soutient aux millions de personnes infectées et affectées par le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme à travers le monde. La reconstitution devra mobiliser au minimum 20 milliards de dollars pour maintenir et améliorer les résultats obtenus au cours des dernières années. Dans un contexte de restrictions financières, cette somme peut être perçue comme colossale. Cependant, en comparaison aux 700 milliards de dollars déboursés en un temps records pour venir en aides aux banques de Wall Street pendant la crise financière, c'est un investissement raisonnable dont les retombées seront importantes en termes d'amélioration de la santé. Certains bailleurs de fonds internationaux ont anticipé l'issue de la réunion de reconstitution du Fonds, et ont déjà proposé un plafonnement du montant du financement disponible pour chaque session. Les conséquences seraient terribles car cette décision va à l'encontre des principes même sur lesquels a été créé le Fonds mondial. Certains pays et certaines communautés seraient privées des ressources nécessaires pour répondre de manière efficace au VIH/sida, à la tuberculose et au paludisme. Signer cette pétition, c'est manifester son soutien au Fonds mondial et exiger un engagement de la part des gouvernements pour la santé des communautés à travers le monde, en augmentant leur contribution financière au Fonds mondial et en mobilisant les 20 milliards de dollars à la troisième rencontre pour la reconstitution des ressources
A l'attention de la communauté internationale et des leaders mondiaux

Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a été créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement.

Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme a été créé en 2001 dans le but d'apporter des réponses rapides aux problèmes de santé publique et de droits de l'homme liés au VIH/sida, à la tuberculose, et au paludisme dans les pays en développement.
Courrier aux administrateurs du fonds mondial
Le conseil d'administration du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme se tient dans les jours qui viennent. Les représentants des Etats riches essaieront de faire voter de plafonnement des sommes alloués aux pays les plus pauvres pour combattre ces trois pandémies.
Le Fonds mondial doit rester mondial
Le Fonds Mondial doit rester mondial
Le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme envisage de réviser son modèle actuel de priorisation (hiérarchisation), qui détermine l'ordre dans lequel les propositions sont approuvées dans le cas d'un financement limité. Massive Good
L'ONU a lancé jeudi 4 mars 2010 un projet mondial de collecte de fonds via internet, sur une base volontaire. L'argent ainsi récolté servirait à lutter contre le sida, le paludisme et la tuberculose dans les pays en développement.L'ONU a lancé jeudi 4 mars 2010 un projet mondial de collecte de fonds via internet, sur une base volontaire. L'argent ainsi récolté servirait à lutter contre le sida, le paludisme et la tuberculose dans les pays en développement.
Réseau international d'ONG communautaires de lutte contre le sida et les hépatites virales fondée en 2008, Coalition PLUS agit dans 52 pays auprès d’une centaine d’organisations de la société civile. A travers le principe de gouvernance partagée qui la régit, notre coalition implique 16 organisations adhérentes, du Nord et du Sud, dans la prise de décision stratégique.
S’inscrivant dans la démarche communautaire, Coalition PLUS milite pour que les personnes infectées, affectées ou particulièrement vulnérables au VIH et au VHC soient systématiquement associées aux processus décisionnels, de réalisation et d’évaluation des programmes de santé qui les concernent.
Attachée à l'excellence en gestion et au principe essentiel de gouvernance démocratique, Coalition PLUS est labellisée « Don en confiance » par le Comité de la Charte.
Pour plus d'informations
S’inscrivant dans la démarche communautaire, Coalition PLUS milite pour que les personnes infectées, affectées ou particulièrement vulnérables au VIH et au VHC soient systématiquement associées aux processus décisionnels, de réalisation et d’évaluation des programmes de santé qui les concernent.
Attachée à l'excellence en gestion et au principe essentiel de gouvernance démocratique, Coalition PLUS est labellisée « Don en confiance » par le Comité de la Charte.
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Coalition PLUS - Coalition Internationale Sida - 2016 - 2022
Site réalisé par pleez communication digitale locale
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