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Fonds mondial, les résultats


4,9 millions de vie sauvées!
Le Fonds mondial de lutte contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme annonce le lundi 8 mars 2010, les résultats de ce nouveau mécanisme de financement.


4,9 millions de vie sauvées!
Le Fonds mondial de lutte contre le VIH/sida, la tuberculose et le paludisme annonce le lundi 8 mars 2010, les résultats de ce nouveau mécanisme de financement.

Rapport d’activités 2011: « La situation actuelle est inacceptable, alors que nous disposons des outils...

"La situation actuelle est inacceptable, alors que nous disposons des outils pour mettre un terme à l’épidémie" Coalition PLUS, union d’associations communautaires de lutte contre...

Recherche communautaire

Le laboratoire de recherche communautaire de Coalition PLUS (LRC) vise à faire valoir...

Plaidoyer

Le programme Plaidoyer consiste à mener des actions d’influence auprès des décideurs politiques et des instances publiques nationales et internationales, afin d’améliorer les politiques...

Notre action

Militer, agir et innover...toujours! Le Secrétariat de Coalition PLUS est basé à Pantin, dans la proche banlieue de Paris (France). Son action s’articule autour de...

Programme de réduction des risques auprès des personnes usagères de drogues à l’ALCS TétouanProgramme...

Programme de réduction des risques
auprès des personnes usagères de drogues à l’ALCS Tétouan
Le Nord du Maroc a connu ces dernières années une augmentation rapide de l’usage de drogues, tout particulièrement l’héroïne par voie injectable, avec comme corollaire une épidémie d’infection à VIH et au virus de l’hépatite C. C’est pourquoi, l’ALCS, principale association de lutte contre le sida au Maroc, reconnue d’utilité publique, membre fondateur de la Coalition Plus, impliquée à la fois dans la prise en charge psychosociale des personnes vivant avec le VIH et dans des projets de prévention de proximité auprès des populations les plus vulnérables à l’infection à VIH (MSM, professionnelles du sexe, migrants) s’est investit dans la réduction des risques et dans le plaidoyer pour la défense des droits des personnes usagères de drogues (PUD).
En 2009, en l’absence de financement institutionnel et devant l’urgence, l’ALCS a démarré, initialement avec l’apport financier de Coalition PLUS, puis avec un financement d’une agence catalane et du Fonds Mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, un programme d’échange de seringues dans la ville de Tétouan. Grâce à une unité mobile, les intervenants de terrain distribuent des kits d’injection et autres matériel de prévention du VIH et VHB/VHC, du papier aluminium et des condoms. De 2009 à 2011, 35 000 seringues ont été distribuées avec un taux de retour de 51%. Des campagnes de dépistage mobile du VIH et des IST, sont régulièrement organisées.
En matière de plaidoyer, une enquête réalisée en 2011, auprès de 300 PUD, a permis de documenter les violations de leurs droits par la police, la justice et le système de santé et de mener une campagne de communication sur ces violations qui a aboutie à la signature, par les principales associations de RdR et de droits humains, d’une déclaration demandant un changement de politique.
Par manque de moyens financiers, ce programme souffre de l’absence de centres d’accueil des PUD et de programme de substitution par la méthadone qui devrait bientôt démarrer.
Programme de réduction des risques auprès des personnes usagères de drogues à l’ALCS Tétouan
Le Nord du Maroc a connu ces dernières années une augmentation rapide de l’usage de drogues, tout particulièrement l’héroïne par voie injectable, avec comme corollaire une épidémie d’infection à VIH et au virus de l’hépatite C.
Programme de réduction des risques
auprès des personnes usagères de drogues à l’ALCS Tétouan
Le Nord du Maroc a connu ces dernières années une augmentation rapide de l’usage de drogues, tout particulièrement l’héroïne par voie injectable, avec comme corollaire une épidémie d’infection à VIH et au virus de l’hépatite C. C’est pourquoi, l’ALCS, principale association de lutte contre le sida au Maroc, reconnue d’utilité publique, membre fondateur de la Coalition Plus, impliquée à la fois dans la prise en charge psychosociale des personnes vivant avec le VIH et dans des projets de prévention de proximité auprès des populations les plus vulnérables à l’infection à VIH (MSM, professionnelles du sexe, migrants) s’est investit dans la réduction des risques et dans le plaidoyer pour la défense des droits des personnes usagères de drogues (PUD).
En 2009, en l’absence de financement institutionnel et devant l’urgence, l’ALCS a démarré, initialement avec l’apport financier de Coalition PLUS, puis avec un financement d’une agence catalane et du Fonds Mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, un programme d’échange de seringues dans la ville de Tétouan. Grâce à une unité mobile, les intervenants de terrain distribuent des kits d’injection et autres matériel de prévention du VIH et VHB/VHC, du papier aluminium et des condoms. De 2009 à 2011, 35 000 seringues ont été distribuées avec un taux de retour de 51%. Des campagnes de dépistage mobile du VIH et des IST, sont régulièrement organisées.
En matière de plaidoyer, une enquête réalisée en 2011, auprès de 300 PUD, a permis de documenter les violations de leurs droits par la police, la justice et le système de santé et de mener une campagne de communication sur ces violations qui a aboutie à la signature, par les principales associations de RdR et de droits humains, d’une déclaration demandant un changement de politique.
Par manque de moyens financiers, ce programme souffre de l’absence de centres d’accueil des PUD et de programme de substitution par la méthadone qui devrait bientôt démarrer.
Programme de réduction des risques auprès des personnes usagères de drogues à l’ALCS Tétouan
Le Nord du Maroc a connu ces dernières années une augmentation rapide de l’usage de drogues, tout particulièrement l’héroïne par voie injectable, avec comme corollaire une épidémie d’infection à VIH et au virus de l’hépatite C.

ACS/AMO Congo (RDC)

ACS / AMO Congo a été créée en 1993 à l’initiative d’un groupe multidisciplinaire de cadres congolais et étrangers, reconnue d’utilité publique par les...

ANCS (Sénégal)

L’Alliance Nationale Contre le Sida (ANCS) est une organisation de la Société Civile créée le 28 juillet 1994. Leader dans la réponse contre le...

Johnson doit suivre Gilead dans le Patent Pool

Médicaments anti-VIH : Johnson doit suivre Gilead dans le Patent Pool !
Le 20 décembre, les laboratoires Johnson ont annoncé leur refus  de rejoindre Gilead et les National Institutes of Health dans le Patent Pool. Coalition PLUS dénonce ce refus, et appelle Johnson à revenir à la raison.
PATENT POOL
Le Patent Pool est une initiative lancée par UNITAID afin de permettre l’accès à des versions génériques des médicaments anti-VIH . Cette initiative prévoit que les laboratoires occidentaux autorisent la commercialisation au Sud de version génériques bon marché de leurs médicaments anti-VIH. En échange, ils reçoivent des redevances sur les ventes de génériques au Sud.
Deux grands propriétaires de brevets anti-VIH ont déjà signé avec le Patent Pool. Il s’agit tout d’abord du laboratoire américain Gilead, premier acteur du marché anti-VIH, avec environ 50% du marché mondial en valeur. Le deuxième participant au Patent Pool est le National Institute of Health américain, premier détenteur public de brevets pharmaceutiques au monde.
JOHNSON A LA TRAINE
Alors que les principaux laboratoires fabricant des médicaments anti-VIH (GSK, Pfizer, BMS et Boehringer) sont en négociation avec le Patent Pool , Johnson a annoncé qu’il s’y refusait.
Pourtant, les produits de Johnson sont ceux auxquels les malades du Sud ont le plus urgemment besoin d’avoir accès sous forme générique. En effet, Johnson est derrière les toutes dernières avancées thérapeutiques anti-VIH : rilpivirine, darunavir, et etravirine. Ces médicaments récents n’existent pas en génériques, et sont donc inaccessibles pour les malades des pays en développement. Aujourd’hui, le refus de Johnson de rejoindre le Patent Pool coûte des vies.
Johnson a aussi annoncé des accords bilatéraux avec quelques fabricants de génériques. Malheureusement, ces accords n’ont aucune visée sanitaire, mais simplement commerciale. Ainsi, d’après nos informations, ils contiennent des clauses limitant la baisse des prix des génériques : peu de pays inclus, peu de fabricants autorisés, des prix planchers à ne pas dépasser, des monopoles sur les ingrédients et les intrants, etc. Pour preuve : Johnson refuse catégoriquement de rendre publics les termes de ses soi-disantes « licences humanitaires ». Par contraste, le laboratoire Gilead n’a pas hésité à publier intégralement sur internet sa licence signée avec le Patent Pool, en toute transparence. Résultat : les licences « humanitaires » de Johnson sont si restrictives qu’aucun médicament générique n’a encore pu en sortir , et ce alors que ces licences avaient été annoncées en 2008 et 2009 . Concrètement, cela signifie que que les malades des pays pauvres n'ont toujours pas accès à ces médicaments vitaux.
Le laboratoire Johnson est pourtant le fabricant des produits pour bébé Cadum, qui s’enorgueillit d’avoir lancé l’initiative ’No Baby Born with HIV’ . Malheureusement, Johnson préfère laisser mourir les bébés infectés par le VIH, plutôt que de les laisser accéder à des versions génériques de ses médicaments anti-VIH fabriquées grâce au Patent Pool.
EXIGENCES
Coalition PLUS exige que Johnson rejoigne immédiatement le Patent Pool, et qu’il lui concède des licences honnêtes et complètes, qui respectent véritablement les besoins des malades du sida des pays en développement, en matière de baisse rapide des prix et de concurrence maximale entre fabricants.
En particulier, nous exigeons de Johnson de : (i) autoriser une concurrence générique maximale sur ses produits VIH, couvrant l’ensemble des pays développement ; (ii) permettre que les génériques de ses antirétroviraux soient disponibles partout dans le monde en développement, c’est à dire y compris dans les pays dits « à revenu intermédiaire », tels le Maroc ou l’Equateur ; (iii) permettre la fabrication de génériques n’importe où dans le monde en développement, sans restriction de pays ; (iv) renoncer à toute restriction touchant la fabrication générique des principes actifs ; (v) renoncer à toute mesure à l’encontre des fabricants de génériques qui approvisionnement en médicaments un pays ayant dû émettre une licence obligatoire contre Johnson.
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Médicaments anti-VIH : Johnson doit suivre Gilead dans le Patent Pool !

Le 20 décembre, les laboratoires Johnson ont annoncé leur refus  de rejoindre Gilead et les National Institutes of Health dans le Patent Pool. Coalition PLUS dénonce ce refus, et appelle Johnson à revenir à la raison.
Médicaments anti-VIH : Johnson doit suivre Gilead dans le Patent Pool !
Le 20 décembre, les laboratoires Johnson ont annoncé leur refus  de rejoindre Gilead et les National Institutes of Health dans le Patent Pool. Coalition PLUS dénonce ce refus, et appelle Johnson à revenir à la raison.
PATENT POOL
Le Patent Pool est une initiative lancée par UNITAID afin de permettre l’accès à des versions génériques des médicaments anti-VIH . Cette initiative prévoit que les laboratoires occidentaux autorisent la commercialisation au Sud de version génériques bon marché de leurs médicaments anti-VIH. En échange, ils reçoivent des redevances sur les ventes de génériques au Sud.
Deux grands propriétaires de brevets anti-VIH ont déjà signé avec le Patent Pool. Il s’agit tout d’abord du laboratoire américain Gilead, premier acteur du marché anti-VIH, avec environ 50% du marché mondial en valeur. Le deuxième participant au Patent Pool est le National Institute of Health américain, premier détenteur public de brevets pharmaceutiques au monde.
JOHNSON A LA TRAINE
Alors que les principaux laboratoires fabricant des médicaments anti-VIH (GSK, Pfizer, BMS et Boehringer) sont en négociation avec le Patent Pool , Johnson a annoncé qu’il s’y refusait.
Pourtant, les produits de Johnson sont ceux auxquels les malades du Sud ont le plus urgemment besoin d’avoir accès sous forme générique. En effet, Johnson est derrière les toutes dernières avancées thérapeutiques anti-VIH : rilpivirine, darunavir, et etravirine. Ces médicaments récents n’existent pas en génériques, et sont donc inaccessibles pour les malades des pays en développement. Aujourd’hui, le refus de Johnson de rejoindre le Patent Pool coûte des vies.
Johnson a aussi annoncé des accords bilatéraux avec quelques fabricants de génériques. Malheureusement, ces accords n’ont aucune visée sanitaire, mais simplement commerciale. Ainsi, d’après nos informations, ils contiennent des clauses limitant la baisse des prix des génériques : peu de pays inclus, peu de fabricants autorisés, des prix planchers à ne pas dépasser, des monopoles sur les ingrédients et les intrants, etc. Pour preuve : Johnson refuse catégoriquement de rendre publics les termes de ses soi-disantes « licences humanitaires ». Par contraste, le laboratoire Gilead n’a pas hésité à publier intégralement sur internet sa licence signée avec le Patent Pool, en toute transparence. Résultat : les licences « humanitaires » de Johnson sont si restrictives qu’aucun médicament générique n’a encore pu en sortir , et ce alors que ces licences avaient été annoncées en 2008 et 2009 . Concrètement, cela signifie que que les malades des pays pauvres n'ont toujours pas accès à ces médicaments vitaux.
Le laboratoire Johnson est pourtant le fabricant des produits pour bébé Cadum, qui s’enorgueillit d’avoir lancé l’initiative ’No Baby Born with HIV’ . Malheureusement, Johnson préfère laisser mourir les bébés infectés par le VIH, plutôt que de les laisser accéder à des versions génériques de ses médicaments anti-VIH fabriquées grâce au Patent Pool.
EXIGENCES
Coalition PLUS exige que Johnson rejoigne immédiatement le Patent Pool, et qu’il lui concède des licences honnêtes et complètes, qui respectent véritablement les besoins des malades du sida des pays en développement, en matière de baisse rapide des prix et de concurrence maximale entre fabricants.
En particulier, nous exigeons de Johnson de : (i) autoriser une concurrence générique maximale sur ses produits VIH, couvrant l’ensemble des pays développement ; (ii) permettre que les génériques de ses antirétroviraux soient disponibles partout dans le monde en développement, c’est à dire y compris dans les pays dits « à revenu intermédiaire », tels le Maroc ou l’Equateur ; (iii) permettre la fabrication de génériques n’importe où dans le monde en développement, sans restriction de pays ; (iv) renoncer à toute restriction touchant la fabrication générique des principes actifs ; (v) renoncer à toute mesure à l’encontre des fabricants de génériques qui approvisionnement en médicaments un pays ayant dû émettre une licence obligatoire contre Johnson.
alt
Médicaments anti-VIH : Johnson doit suivre Gilead dans le Patent Pool !

Le 20 décembre, les laboratoires Johnson ont annoncé leur refus  de rejoindre Gilead et les National Institutes of Health dans le Patent Pool. Coalition PLUS dénonce ce refus, et appelle Johnson à revenir à la raison.

Selon un économiste du FMI, taxer les transactions financières, c’est faisable !

Un rapport publié par un économiste du FMI ce jeudi 4 août indique que taxer les transactions financières est tout à fait possible d’un point de vue pratique. Il recommande d'avoir "une législation cohérente" et de prévoir des sanctions appropriées pour éviter le contournement de la taxe.
Un rapport publié par un économiste du FMI ce jeudi 4 août indique que taxer les transactions financières est tout à fait possible d’un point de vue pratique. Il recommande d'avoir "une législation cohérente" et de prévoir des sanctions appropriées pour éviter le contournement de la taxe.